L’isolation des combles, murs, planchers, etc., peut aussi se faire avec des textiles recyclés. Une seconde vie pour le textile et en même temps, un mode d’isolation écologique qui tend à préserver l’environnement. Qui aurai pu penser qu’un vieux jean puisse un jour se retrouver dans les murs du séjour d’une belle bâtisse moderne et en pleine ville, pour protéger les maîtres de maison et leurs invités du froid de l’hiver ! Eh bien, c’est sans compter sur les ingéniosités des fabricants qui arrivent à transformer presque tout en produits performants à prix abordable, à proposer à la clientèle.
Maintenant, les vieux vêtements en coton, non réutilisables et donc bons pour la poubelle subissent donc un recyclage pour devenir des isolants à part entière, désignés parfois par « métisse ». Aussi, les textiles recyclés commencent à avoir leur place dans la liste des isolants dits « biosourcés », autrement dit, écologiques. Voici donc un tour d’horizon sur ce matériau isolant, dont la conception zntre dans la démarche développement durable pour être éligible aux aides de type Eco PTZ.
Les vêtements en coton, en jean, en velours, ou en laine, etc continuent de susciter l’engouement de la clientèle. Mais on a maintenant tendance à s’en débarrasser dès qu’ils commencent à se ternir. Ceux en fibres synthétiques inondant le marché sont à des prix peu importants. De ce fait, les choisir pour étant des matières premières pour produit recyclé, est intéressant car on se retrouve devant une source en quantité importante, voire inépuisable.
Par ailleurs, on reconnait ces types de matières, bien qu’ils soient inflammables, pour avoir une meilleure tenue au feu par rapport à leurs sœurs en fibres synthétiques.
En outre, ce sont des matières non irritables donc très peu nocives à la santé de ceux qui les manipulent et cette qualité demeure après le recyclage.
Enfin, le recyclage de ces vieux vêtements est relativement simple car il consiste à des opérations successives de découpage, de hachage, de défibrage pour ensuite lier les fibres obtenus avec du polyester conçu à cet effet (sous forme de fibres thermofusibles : four à 140° C). Plus précisément, le textile recyclé devenu un isolant, comprend à plus 60 % de coton, à 20 % environs de laine et d’autres fibres de type polyamide et de 15 % au moins en liant polyester.
Avant la mise sur le marché, la plupart de produits ont subi un traitement avec de l’insecticide et du produit antifongique et antistatique. Le traitement ignifugeant se fait pour sa part, sur demande.
Enfin, les isolants en textiles recyclés sont présentés sous forme de flocons, de panneaux rigides et de rouleaux semi-rigides.
Ainsi les isolants en textiles recyclés présentent de nombreux atouts qui peuvent varier selon les natures des composants utilisés et les conditions de mises en œuvre, mais qu’on peut généraliser comme suit :
Les produits de marque, biosourcés, labellisés ont des propriétés plus intéressantes et des caractéristiques bien déterminées. En effet, en plus de ce qu’on vient de mentionner ci-dessus, ils :
Il est cependant à noter que les inconvénients de textiles recyclés résident dans l’absence de labels, un confort d’été moyen, et de posséder une énergie grise assez conséquente.
Même si le textile recyclé commencent à se faire connaitre pour isoler d’autres parois du bâtiment, il est plus adéquat (cas de produit de marque surtout) pour :
Quant aux aides disponibles sous conditions (recours au professionnel RGE, respect des exigences requises par la RT en vigueur, etc.), on peut citer entre autres, le CITE, L’Eco PTZ, la TVA réduite, les aides de l’ANAH (Habiter mieux), etc.
Maintenant, les vieux vêtements en coton, non réutilisables et donc bons pour la poubelle subissent donc un recyclage pour devenir des isolants à part entière, désignés parfois par « métisse ». Aussi, les textiles recyclés commencent à avoir leur place dans la liste des isolants dits « biosourcés », autrement dit, écologiques. Voici donc un tour d’horizon sur ce matériau isolant, dont la conception zntre dans la démarche développement durable pour être éligible aux aides de type Eco PTZ.
Combles : les textiles recyclés et vieux vêtements au service de l’isolation
Les vêtements en coton, en jean, en velours, ou en laine, etc continuent de susciter l’engouement de la clientèle. Mais on a maintenant tendance à s’en débarrasser dès qu’ils commencent à se ternir. Ceux en fibres synthétiques inondant le marché sont à des prix peu importants. De ce fait, les choisir pour étant des matières premières pour produit recyclé, est intéressant car on se retrouve devant une source en quantité importante, voire inépuisable.
Par ailleurs, on reconnait ces types de matières, bien qu’ils soient inflammables, pour avoir une meilleure tenue au feu par rapport à leurs sœurs en fibres synthétiques.
En outre, ce sont des matières non irritables donc très peu nocives à la santé de ceux qui les manipulent et cette qualité demeure après le recyclage.
Enfin, le recyclage de ces vieux vêtements est relativement simple car il consiste à des opérations successives de découpage, de hachage, de défibrage pour ensuite lier les fibres obtenus avec du polyester conçu à cet effet (sous forme de fibres thermofusibles : four à 140° C). Plus précisément, le textile recyclé devenu un isolant, comprend à plus 60 % de coton, à 20 % environs de laine et d’autres fibres de type polyamide et de 15 % au moins en liant polyester.
Avant la mise sur le marché, la plupart de produits ont subi un traitement avec de l’insecticide et du produit antifongique et antistatique. Le traitement ignifugeant se fait pour sa part, sur demande.
Enfin, les isolants en textiles recyclés sont présentés sous forme de flocons, de panneaux rigides et de rouleaux semi-rigides.
Textiles recyclés : leurs caractéristiques
Ainsi les isolants en textiles recyclés présentent de nombreux atouts qui peuvent varier selon les natures des composants utilisés et les conditions de mises en œuvre, mais qu’on peut généraliser comme suit :
- Ce sont des matériaux légers quand il est en vrac pour soufflage (masse volumique ne dépassant pas 10 kg/m3) et sont plus denses (de 25 kg/m3 ou plus) en cas de rouleaux ou de panneau.
- Leur conductivité thermique est convenable avec une valeur variant entre 0,039 et 0.051 W/mK.
- Ce sont des isolants phoniques efficaces.
- Ils ont une durée de vie élevée car comprise entre 30 et 40 ans.
- Ils sont parmi les isolants ayant le prix le moins cher sur le marché et conviennent aussi bien en construction neuve qu’en rénovation (beaucoup plus pour les maisons anciennes).
- Ce sont des isolants recyclables et respectueux de l’environnement.
Les produits de marque, biosourcés, labellisés ont des propriétés plus intéressantes et des caractéristiques bien déterminées. En effet, en plus de ce qu’on vient de mentionner ci-dessus, ils :
- ont subi des traitements (insecticide, fongicide, ignifugeant) avec des produits sans nocivité (sel de bore).
- ne nécessitent parfois pas la pose de pare-vapeur, étant un bon régulateur hygrométrique.
- assurent un confort d’hiver élevé. ont une bonne tenue au feu.
- Leurs constantes techniques sont bien déterminées.
Il est cependant à noter que les inconvénients de textiles recyclés résident dans l’absence de labels, un confort d’été moyen, et de posséder une énergie grise assez conséquente.
De vieux textiles pour l’isolation des murs, plancher et rampants des combles
Même si le textile recyclé commencent à se faire connaitre pour isoler d’autres parois du bâtiment, il est plus adéquat (cas de produit de marque surtout) pour :
- Les combles perdus sous la forme de flocons à souffler et dont l’atteinte de résistance minimale requise de 7 m2K/W est assurée avec une épaisseur minimum de 44 cm au prix au m2 avoisinant les 24 euros.
- Les combles aménageables, notamment l’isolation sous rampants avec des rouleaux semi-rigides à dérouler ou des panneaux rigides, selon la densité et l’épaisseur voulue. A ce propos, on peut arriver à respecter la résistance minimale requise de 6 m2K/W avec une épaisseur de 24 cm à un prix au m2 de 33 euros.
- Les murs intérieurs avec des panneaux rigides ou des rouleaux semi rigides. Pour accéder à la résistance minimale requise de 3,7 m2K/W, on peut opter pour une épaisseur de 15 cm à un coût estimé au m2 à 20 euros.
Quant aux aides disponibles sous conditions (recours au professionnel RGE, respect des exigences requises par la RT en vigueur, etc.), on peut citer entre autres, le CITE, L’Eco PTZ, la TVA réduite, les aides de l’ANAH (Habiter mieux), etc.